La newsletter qui décrypte l'humour et lubrifie vos rapports sociaux.
Pourquoi cette newsletter? Notre envie de vous écrire part d’un constat : l’humour a beau être présent partout, il semble de plus en plus délicat à manipuler. Et on s’est dit que si, même nous “professionnelles de la profession”, on est parfois un peu perdues, alors on comprend pourquoi les gens dont ce n’est pas la première préoccupation le sont.
Novembre, c’est le mois le moins golri et 2023 ne déroge pas à la règle. Le combo “commémorations multiples” feat. “actu internationale supra marrante” fonctionne à plein pour nous couper net l’envie de rigoler. Or quoi de mieux, pour apporter un peu de gaité dans ce monde de brutes, que de se moquer de son prochain ?
En octobre, on affiche la couleur ! Pour Le point golri, c’est le rose qui s’impose. Octobre, c’est le mois de la sensibilisation au cancer du sein. L’occasion pour nous d’aborder l’importance du rire face à la maladie.
Ça y est, les vacances sont finies pour (presque) tout le monde. Et comme tous les ans, voici donc le temps de la rentrée scolaire. Ô rage Ô désespoir pour certain.e.s, Ô joie Ô soulagement pour d'autres. C'est donc le moment pour Le point golri d'aborder cette épineuse question de saison : l'humour peut-il aider à apprendre ?
Comment faites-vous l’humour ? Pour vous éclairer dans cette interrogation ontologique, on propose de vous cuisiner un peu... façon portrait chinois (mais sans glutamate). Voici notre quiz de l'été (une tradition !) avant la trêve estivale.
Ça y’est le brevet des collèges, le bac, Parcoursup, c’est passé ! Vous avez cru que vous étiez arrivés au bout du parcours du combattant ? Que nenni. Les vacances avec vos ados arrivent et avec elles leur lot de tirages de gueule, bouderies et autres joyeusetés pubères. Faisons le point pour que votre été fasse rimer acnée avec légèreté.
Les températures montent et avec elles, notre libido (entendre, notre énergie psychique)... et notre envie de faire l’humour. Seulement parfois, on n’ose pas se lancer. Pas de panique ! Vous êtes escorté par des professionnelles. Voici nos astuces pour oser le faire partout et avec (presque) tout le monde pour un maximum de plaisir partagé.
Voilà un dicton cher à nos grands-mères. Mais comme elles disaient par ailleurs beaucoup de conneries : “Louche pas, si y’a un courant d’air, tu vas rester comme ça” (spoiler alert : on a essayé, c’est faux), on s’est méfiées et on a investigué. Voici le résultat d’une enquête digne de Bernard de la Villardière (au minimum).
Telle est la question que nous a posée notre ami Martin, salarié contraint à la rigolade par son entreprise.
Vox populi, vox dei (enfin sauf en cas de 49.3, mais c’est un autre débat. Ah ! On nous glisse dans l’oreillette que le débat, ce n’est pas le principe du 49.3). Le point golri ne fuira point ses responsabilités et ne dégainera ni 49.3, ni 44.2, ni 44.3, ni 49.2 (ni ne désoperculera la moindre 8.6). Le lectorat a voté, le lectorat sera respecté.
L’expression “humour sexiste” ne devrait même pas exister, tant elle est oxymorique. Si l’humour a pour objectif d’être drôle (en vous remerciant), le sexisme, lui, ne l’est pas. Du tout. Jamais. "L'humour" sexiste est aussi antinomique qu’un cor au pied est agréable.